Les artistes béninois Eliane Aïsso, Eric Mededa et Achille Adonon du collectif « Sac O Dos » se retrouvent autour d’une résidence de cherches et de création sous la coupole de leur aîné Ludovic Fadaïro depuis le 28 novembre à Grand-Popo. Intitulée Kanxoxo nu, cette résidence dont la restitution est prévue pour l’année 2023, marque le retour de ce collectif initié il y a cinq ans dans le cadre de la biennale de Dak’art. Eliane Aïsso, artiste visuelle et membre du collectif, nous confie dans cet entretien, les coulisses de la création du collectif « Sac O Dos » et revient sur les réelles motivations de la résidence Kanxoxo nu.
Vous aviez initié le projet « Sac O Dos » en 2018, dans le but de mobiliser des fonds afin de participer à la biennale de Dak’art et en 2021, il se mue en Collectif. Pourquoi ce choix ?
Le Collectif « Sac O Dos » parce qu’on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas d’initiative de jeunes artistes qui partagent la même vision, un objectif commun. Il n’y a pas de regroupement de jeunes artistes qui aspirent à un idéal commun. A un moment donné, il faut s’unir pour pouvoir avancer. Nous restons convaincus que l’union fait la force et qu’à trois nous pouvons relever de grands défis. L’idée c’était de nous amener en tant qu’artistes à collaborer. Après plusieurs échanges, on s’est lancé dans l’aventure après notre participation à la biennale de Dak’art en 2018.
Parlant justement de 2018, vous disiez au cours d’une conférence de presse que le projet « Sac O Dos » était initié dans un cadre précis et qu’il n’était pas
Vous aviez initié le projet « Sac O Dos » en 2018, dans le but de mobiliser des fonds afin de participer à la biennale de Dak’art et en 2021, il se mue en Collectif. Pourquoi ce choix ?
Le Collectif « Sac O Dos » parce qu’on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas d’initiative de jeunes artistes qui partagent la même vision, un objectif commun. Il n’y a pas de regroupement de jeunes artistes qui aspirent à un idéal commun. A un moment donné, il faut s’unir pour pouvoir avancer. Nous restons convaincus que l’union fait la force et qu’à trois nous pouvons relever de grands défis. L’idée c’était de nous amener en tant qu’artistes à collaborer. Après plusieurs échanges, on s’est lancé dans l’aventure après notre participation à la biennale de Dak’art en 2018.